Droits d'auteurs et citations

Tous les éléments publiés sur ce blog peuvent être utilisés avec l'accord de l'auteur du blog et A LA CONDITION de citer les sources utilisées (qu'il s'agisse du ou des billets utilisés comme des auteurs cités dans le blog). Merci de respecter les droits d'auteur (pour tous les textes et documents utilisés dans le blog, y compris pour les auteurs cités). Pour me contacter : benedicte.tratnjek[at]gmail.com

dimanche 9 mars 2014

Café géo "Les déplacés de guerre dans la ville au Mozambique" (18 mars 2014, Montpellier)


Les Cafés géographiques de Montpellier invitent la géographe Jeanne Vivet (maître de conférences en géographie à l'Université Bordeaux III) le mardi 18 mars 2014 pour un débat sur « Les déplacés de guerre dans la ville au Mozambique » (au café Riche, place de la Comédie, Montpellier, entrée libre, salle à l’étage : voir toutes les informations et un plan d'accès sur le site des Cafés géographiques).

Jeanne Vivet est l'auteur d'une thèse de doctorat en géographie intitulée Déplacements forcés et citadinité. Les deslocados de guerre à Maputo (Mozambique) (Université Paris X, 2010 : voir la présentation de la thèse par Jeanne Vivet pour la revue Carnets de géographes). Sa thèse a été éditée sous le titre Déplacés de guerre dans la ville. La citadinisation des deslocados à Maputo (Mozambique) (Jeanne Vivet, éditions Karthala, 2012 : voir la recension de Catherine Fournet-Guérin pour la revue L'espace politique).

L'un des apports de ses travaux est d'avoir questionné les déplacés de guerre « invisibles », c'est-à-dire ceux qui ne sont pas pris en charge dans des camps de migrants de guerre et s'installent dans des espaces de vie « ordinaires » au sein du tissu urbain (voir également le billet du 8 février 2010).

Elle est également l'auteur de nombreux articles dont :
Voir l'ensemble de ses publications. Voir également : Karine Ginisty et Serge Weber, 2013, « Paroles d’invisibles : regards sur le droit à la ville à Maputo », EchoGéo, entretien autour de l'ouvrage de Jeanne Vivet, n°18.


Aucun commentaire: